Pendant que Zendaya incarne le luxe chez Louis Vuitton, Sydney transforme son bain en business model. Bienvenue dans le 21ème siècle !
Quand Hollywood rencontre OnlyFans : le crossover qu’on attendait pas
Pendant que Zendaya incarne le luxe chez Louis Vuitton… Sydney Sweeney, elle, vend son eau de bain en savon pour hommes. Pour 8 dollars.
Oui, vous avez bien lu. WTF in this world ?! 🧼
Alors que ses consœurs d’Euphoria grimpent les échelons du luxe (Hunter Schafer pour Prada, Alexa Demie muse Balenciaga), Sydney a choisi une autre voie : transformer ses ablutions en produit marketing.
Et franchement, on sait plus si on doit applaudir ou appeler sa maman.
Comment transformer un bain en coup marketing
À la base, tout commence simplement : Sydney tourne une pub sexy pour Dr. Squatch, une marque de savon pour hommes. Elle est dans un bain, clin d’œil assumé au male gaze. Du classique, quoi.
Mais là où ça devient intéressant : Les fans (surtout des hommes, surprise !) commentent massivement : « Tu vends ton eau de bain ? »
Et Sydney, au lieu de fuir en courant, répond… « Pourquoi pas ? »
Face à la hype, elle propose elle-même à la marque d’en faire un vrai produit. Elle reprend un bain, la mousse est récupérée, et boom : sortie limitée du savon « Bathwater Bliss ».
Son commentaire ? « C’est bizarre, mais dans le bon sens. »
Ah Sydney, on adore ta définition du « bon sens » ! 😅
Internet a des opinions (et elles piquent)
Surprise : l’annonce fait l’effet d’une bombe. Aber pas forcément dans le bon sens…
Sur les réseaux, les critiques pleuvent comme une averse d’été :
- « Move de meuf OnlyFans »
- « Dégueulasse »
- « Cheap, gênant, marketing désespéré »
Pour beaucoup, Sydney passe de star HBO à objet marketing de bas étage. Le genre de transition de carrière qu’on souhaite à personne.
Pendant que ses copines d’Euphoria décrochent des contrats avec les plus grandes maisons de luxe, Sydney recycle littéralement son bain pour faire du buzz. Ou de l’argent. Ou les deux. On sait plus trop.
Génie marketing ou descente aux enfers express ?
D’un côté, il faut reconnaître : Sydney a transformé un délire de fans en produit réel. « Vous voulez mon eau de bain ? Très bien, tenez-la. » C’est ce qu’on appelle de l’activation communautaire poussée à l’extrême.
Mais attention les yeux : Ce genre de collab’ ultra-WTF, on les voit d’habitude chez :
- Arnold Schwarzenegger en ambassadeur Lidl 🛒
- Mike Tyson, déjà payé par… Dr. Squatch (coïncidence ? Je ne pense pas)
- Ou les acteurs de Friends recyclés dans des pubs chelous de jeux mobiles 🎮
Et là, c’est Sydney Sweeney — actrice bankable, toujours à l’affiche, égérie Miu Miu… qui s’aligne sur des stratégies réservées aux stars en post-gloire.
C’est audacieux. C’est risqué. Et surtout… tout le monde en parle.
Le vrai dilemme : buzz ou crédibilité ?
Cette collab ultra-clivante propulse Sydney dans le hall of fame du buzz marketing. Mais au prix de quoi ?
Les risques :
Crédibilité érodée
Cataloguée « provocation facile »
Marques premium qui hésitent à suivre
La vraie question : Ce n’est plus juste une affaire de protection des mineurs ou d’algorithmes. C’est devenu une question de rémunération, de visibilité, de contrôle économique.
Les précédents qui font peur (ou espoir)
L’Histoire d’Hollywood regorge d’exemples qui donnent à réfléchir :
Elizabeth Berkley après Showgirls : Hypersexualisation totale, critiques assassines, carrière fracassée. Impossible de s’en relever vraiment. Exemple typique d’un buzz toxique déguisé en tremplin. 💔
Mais aussi Sharon Stone après Basic Instinct : Même genre d’exposition provocante… sauf qu’elle a réussi à s’imposer sur la durée avec des rôles plus profonds. Elle a reconquis le contrôle de son image. ✨
Sydney Sweeney ? Pour l’instant, elle joue la provocation assumée. Mais la vraie question reste : Est-ce qu’elle écrit une stratégie brillante… ou un futur article « carrière gâchée » ?
Le verdict (provisoire)
Sydney a fait un choix radical : maximiser l’attention à court terme plutôt que de construire une image forte sur 10 ans.
C’est une stratégie. Pas forcément la meilleure, mais une stratégie quand même.
Entre nous, on a un peu mal pour elle. Parce qu’au final, cette eau de bain à 8 dollars dit peut-être plus sur notre époque que sur Sydney elle-même.
Dans un monde où l’attention est la nouvelle monnaie, même les stars d’Hollywood sont prêtes à vendre… n’importe quoi pour rester dans la conversation.
The real question : Dans ce jeu-là, qui gagne vraiment ? Sydney… ou nous, qui en parlons encore ? 🤔
PS : Dr. Squatch, si vous nous lisez, on reste disponibles pour une collab’. Mais on garde notre eau de bain, merci ! 😉
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